Pavaroof est une solution d’isolation du toit terrasse développée par Soprema. Dans tous les cas de figure, il est essentiel que l’isolant fasse preuve d’une grande robustesse pour l’isolation d’un toit-terrasse. Mais cette contrainte implique un choix limité d’isolant. Par ailleurs, si l’on vise une étanchéité optimale du bâtiment, son isolation est idéalement à réaliser par l’extérieur. Parmi les techniques d’isolation, on peut envisager l’isolation végétale, conventionnelle et l’isolation inversée.
Pour ce qui est du choix de l’isolant adéquat pour l’isolation d’une toiture terrasse, les options tournent généralement autour de la laine de roche, panneaux de liège ou panneaux en verre cellulaire. La mousse en polyuréthane et la mousse phénolique se montrent aussi intéressantes pour ce type d’isolation. En ce qui concerne l’isolation inversée, les professionnels utilisent souvent du polystyrène extrudé car il résiste aux chocs mécaniques ainsi qu’aux intempéries. Heureusement, un isolant biosourcé voit le jour.
Un isolant 100 % biosourcé pour toit-terrasse : une innovation Soprema
« Une de nos équipes a été missionnée en 2016. Et en 2020, nous l’avons fait ! » C’est en ces termes que Jérémie Boucher, directeur de la branche Recherche et Développement de Soprema a fièrement annoncé le lancement d’une solution d’isolation 100 % écologique baptisée Pavaroof, conçue à l’initiative de l’industriel.
Il s’agit d’un matériau associant le liège et la fibre de bois en panneaux isolants rigides, et qui se destine à l’isolation du toit terrasse. Le résultat d’un travail de recherche acharné, ayant été conduit dans le centre d’expertise dédié à leurs gammes Pavatex, situé dans les Vosges, à Golbey.
Soprema : un groupe engagé
Pour rappel, la conception de produits destinés à l’étanchéification de tous types de bâtiments, destinés aux particuliers comme aux professionnels, constitue le cœur de métier de Soprema. S’alignant à la cause des changements climatiques, sa politique de recherche et développement se veut aujourd’hui axée sur le développement durable. Fidèle à ses convictions, elle s’emploie à limiter autant que possible son impact environnemental par l’usage de ressources renouvelables et privilégie une innovation en faveur de la santé et de la sécurité.
Effectivement, Soprema met un point d’honneur à développer son offre par l’emploi des technologies constructives respectueuses de l’environnement, ainsi qu’avec des solutions écologiques. Aujourd’hui, le groupe s’engage ainsi à transformer ses produits conçus à partir de produits pétroliers et entame une démarche de substitution des matières premières pétrolières en matières issues du recyclages ou biosourcées. Cette solution pour toiture terrasse Pavaroof illustre parfaitement cet engagement.
Pavaroof de Soprema : l’unique système isolant associant 2 panneaux isolants
A l’heure actuelle, Pavaroof de Soprema reste l’unique système du marché combinant 2 panneaux isolants rigides écologiques : le liège et la fibre de bois. Une propriété de la fibre de bois lui permet d’emmagasiner le CO2, et son déphasage thermique supérieur lui permet d’assurer efficacement le confort de l’habitat.
Les panneaux en liège auront pour rôle de servir de support aux panneaux en fibre de bois, avec l’étanchéité PVC. Intégrant un pare-vapeur hygrovariable, ce complexe isolant a un classement au feu Broof 13. Par ailleurs, elle jouit d’une forte résistance au risque de condensation susceptible de se manifester sous l’étanchéité.
Pavaroof, la solution biosourcée Soprema pour toiture terrasse est brevetée et labellisée
Pavaroof, l’isolant biosourcé destiné aux toitures terrasses est le fruit de nombreuses années de travail collaboratif. Faisant l’objet d’une Atex ou évaluation technique par un groupe d’experts, elle est compatible aussi bien aux ERP qu’aux bâtis individuels et collectifs. Pavaroof s’avère particulièrement recommandée dans les régions en plaine. Avec une labellisation et un brevet accordés par la Fondation Solar Impulse, le groupe se félicite d’avoir été à l’origine de cette solution qui figure ainsi parmi les 1000 autres que recense la Fondation.
